THE WARS OF ROSES ♕
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 Bla bla bla bla bla amen. [William Hastings/Katherine Neville]

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Katherine Neville

Katherine Neville

◆ DATE D'ARRIVEE : 18/06/2014
◆ MISSIVES ENVOYEES : 84

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MessageSujet: Bla bla bla bla bla amen. [William Hastings/Katherine Neville] Bla bla bla bla bla amen. [William Hastings/Katherine Neville] Icon_minitimeDim 13 Juil - 21:04

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Un Dimanche matin comme tous les autres pour le couple Hastings. Un Dimanche matin à la messe comme ils les aiment.
D'accord, ils n'aiment pas ça. Katherine déteste en fait. Dieu n'a jamais vraiment fait partie de sa vie en réalité. Elle a toujours fait croire. Mais alors la messe … Elle prie simplement quand elle en ressent le besoin. Ce qui est plutôt rare. Grand paradoxe, elle tient à ce que ses enfants reçoivent une éducation religieuse assez stricte.
Mais pour le moment, Katherine en est à se préparer tout en rappelant à l'ordre une des nourrices de ses fils.
Le motif ? Elle a osé l'aider à marcher.

-Si vous l'aidez, comment voulez-vous qu'il y parvienne réellement tout seul ? Il a tout juste 2 ans et il tient debout ! Je savais qu'en lui donnant le prénom de son père il serait un incapable !

Et la voilà qui regarde son fils, William, 2 ans, dans les bras de la pauvre jeune femme.

-Si vous ne voulez pas finir comme votre père mon cher William, il va falloir faire des efforts … Et posez cet enfant à terre Mary !

La dernière phrase se fait entendre dans tous les appartements. Mettons cela sur le compte de la grossesse. Elle est nerveuse c'est normal. C'est ce qu'on dit pour excuser les femmes enceinte non ? Ah bon ? Ah zut.
Agacée, Katherine s'accoude à son fauteuil tout en portant une main à son front. Ses lèvres laissent échapper un soupir. Elle est tout de même inquiète. William commence tout juste à faire ses premiers pas alors que son autre frère, plus petit marche déjà. Souvent, elle s'imagine que son fils a vraiment un problème. Elle le vivrait plutôt mal. Elle imagine déjà la tête d'Anne de Beauchamp, sa belle sœur. Oui, elle aurait un petit sourire victorieux sur les lèvres.
Alors non, c'est pas possible, parce que Katherine réussit toujours tout, même ses fils ! William marchera, sera beau et intelligent. Comme son papa. Quoique, l'intelligence, elle se permet parfois d'en douter. Surtout lorsqu'il s'agit de la Woodville. Mais soit, passons. Elle ne fera pas de son fils un martyr. Si il faut, il apprendra le combat à l'épée dès ses 5 ans. Oui, c'est un bon âge ça. Elle sent bien que son fils n'est pas très débrouillard et cela lui fait très peur. Elle en parlera à William. Le plus grand hein.
On sait bien que la messe ne met pas en joie Katherine. C'est à ce moment là que sa folie se montre le plus. Elle abuse de tout son pouvoir sur ses domestiques. C'est un vrai tyran.

-Partez, partez. Allez vous préparer pour la messe.

Elle, elle s'en fiche, elle est déjà prête. Elle préfère être assise et diriger tout ce monde de son trône. Elle a une magnifique vue sur toute la pièce. D'ailleurs, les rideaux qu'elle a fait changer un peu plus tôt ne sont pas mis comme elle veut. Il faudra changer ça. Elle voit bien qu'ils n'occupent pas le même espace. C'est choquant. D'autant plus que ces rideaux se doivent d'être parfaits, elle a dépensé une petite fortune pour les avoir.
Elle veut toujours plus afin de montrer qu'elle est supérieure. Un autre enfant ce manifeste. Mais celui-ci n'est pas encore visible de tous. Il est dans son ventre et fait bien comprendre à sa mère qu'il sera là dans peu de temps. Le médecin dit que ce n'est qu'une affaire de quelques semaines. Katherine appréhende. Tous ses enfantements ne ce sont pas déroulés comme prévu. Pourvu que celui ci soit plus clément … Ah mais oui tient, ça lui fera quelque chose à demander à Dieu à la messe. Une fois la douleur passée, la baronne redresse la tête et se met à hurler. Oui, oui, quand je dis hurler c'est vraiment hurler.

-William ! Où que vous soyez, je vous prie de venir ici de suite ! Vous allez nous mettre en retard !

C'est pas vrai, mais elle a besoin d'aide pour se lever, elle n'y arrive pas. Ha ha ha c'est trop drôle, moquez vous, allez y ! Vous rigolerez moins mesdames une fois que vous aurez le même ventre qu'elle.
Elle a mal au dos, elle ne peut pas se lever seule, elle marche difficilement … Et après on s'étonne qu'elle soit exécrable …
Elle regarde Edward, le plus grand qui est assis par terre à regarder un livre imagé. Un sourire attendrit se dessine alors sur ses lèvres. Elle ne fait pas de préférence devant ses enfants, mais il est vrai qu'Edward est son préféré.

-Edward, mon ange, allez chercher votre père s'il vous plait.

C'est son préféré parce qu'il a 3 ans, et que à 3 ans, un enfant ça parle, ça marche et ça comprend ce qu'on lui dit. Edward referme son livre qu'il tend à sa mère et part donc à la recherche de son père. C'est comme ça que ça marche dans la famille Hastings. Au pas et à l'écoute des moindres désirs de madame.
Enfin, pas tout le temps … Mais quand c'est comme ça, elle menace la personne qui lui tient tête avec le premier objet dangereux qu'elle a sous la main. Cela peut aller de la simple fourchette à … Une épée.
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William Hastings

William Hastings

◆ DATE D'ARRIVEE : 27/05/2014
◆ MISSIVES ENVOYEES : 64

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MessageSujet: Re: Bla bla bla bla bla amen. [William Hastings/Katherine Neville] Bla bla bla bla bla amen. [William Hastings/Katherine Neville] Icon_minitimeLun 25 Aoû - 16:22

Il était dans son bureau et se doutait bien de la scène qui se déroulait dans l’autre pièce par les éclats de voix parvenaient jusqu’à lui. Au début, il aurait tendu l’oreille à savoir ce que sa femme pouvait bien reprocher aux gens de la maisonnée mais avec le temps il avait appris à ne plus s’en faire avec ça… Déjà qu’aujourd’hui la messe allait prendre de son précieux temps, il ne pouvait se permettre de s’interrompe chaque fois que Katherine Neville hausserait le ton! Fallait-il le rappeler, cette dernière était d’autant plus enceinte qu’insupportable en ces fins de grossesses… Celle-ci qui ne voulait plus finir d’ailleurs… William décida à ce moment qu’il prierait pour cette grossesse se termine au plus vite afin que le monde connu puisse enfin jouir de jours de paix sans subit l’orage Kath’Neville.

Avant de s’y rendre par contre, il tenait à terminer l’écriture de ce document… William Hastings était ainsi, il tenait à ce que son travail soit toujours bien fait et s’excusait souvent auprès de Dieu de son manque d’assiduité par de généreuses donations aux bonnes œuvres… S’excuser en pièces trébuchantes était la meilleure façon qu’il avait trouvé pour soulager sa conscience face à l’intemporelle… Aux vues des richesses du couple Hastings, ils avaient de quoi se faire pardonner un nombre incalculable de fautes… Quand finalement William entend sa femme chasser les domestiques, il s’assure d’un coup d’œil que sa riche tenue est convenable pour la messe. C’est qu’il ne voudrait pas rajouté un retard aux hospices  à ses fautes!

Il ne manquait plus que quelques lignes… La plume valsait d’une main habile sur le papier et c’est avec précision qu’elle se mouillait juste comme il faut dans l’encrier afin de poursuivre sa danse. Cela faisait peut-être la troisième fois qu’il entendait sa femme s’époumoner à tenter de le faire venir… Il eue un sourire à l’imaginer sur son trône, ronde comme un ballon et contrariée… Le couple s’aimait même si à ce moment William faisait un peu exprès d’attiser la fureur de sa femme… Après-tout, leurs baisers les plus passionnels n’ont-ils pas été ceux échangés après une fracassante dispute?! Il se mordit légèrement la lèvre inférieure en repensant à ces moments avec sa femme… Tient, il demanderait aussi pardon à Dieu pour ces pensées charnelles… Le déplacement vaudrait chacune d’elles!

Le document est finalement terminé. Ne reste plus qu’à le cacheter et c’est à ce moment précis que la porte du bureau s’ouvre discrètement. William s’arrête et lève les yeux se demandant qui ose si timidement ouvrir la porte sans s’annoncer d’abord. C’est la tête de son fils, le plus beau de tous, qui se glisse par l’ouverture observant son père. Le regard du petit est admiratif devant son père à l’allure si forte et puissante derrière ce bureau massif. Il est le plus beau car il a trois ans; à cet âge les enfants commencent à déplisser et à dérougir… À cet âge on reconnait les traits des parents et cet enfant n’en aurait pas pu avoir de plus beaux! À cet âge, on comprend aussi des choses sans le savoir et Edward savait toute l’importance qu’avait son papa. Ce dernier lui renvoi un sourire charger d’amour paternel. Il l’invite à venir le rejoindre ce que le garçon accepte avec enthousiasme! Avec ses différentes fonctions, William n’est pas aussi souvent près de ses enfants comme il le voudrait être. Il connait bien son rôle dans ce Royaume et dans les affaires de l’État mais jamais il ne perdait de vu la sécurité et le bien-être de sa famille. Voyant en son fils tous les traits qu’il avait de Katherine, il souhaita que cette dernière n’oublie jamais qu’ensemble il devait protéger ces merveilleux enfants de tout mal et péril soufflant sur l’Angleterre.

Lorsque son fils trottinant sur ses petites pattes arrive à la hauteur de la cuisse de son père ce dernier se pencha pour l’attraper. Un bras fort trahissant le passé guerrier du baron s’enroule autour de son fils pour le soulever sans peine. Il l’assoit sur son genou et lui présente son ouvrage à cacheter. « Mère vous demande » disait le jeune garçon. « Elle attendra » pensait Hastings tout en hochant la tête à son fils. William approcha la chandelle qui se reflétait des milliers de fois dans le regard brillant de son fils. Ensemble ils allaient cacheter le document sur lequel Hastings avait travaillé toute l’avant-midi. Le baron sorti le bâtonnet de cire nécessaire et le tendit pour son fils. Guidant la main de son fils, la cire se ramollissait au contact de la flamme.

- « Doucement mon fils… Ayez la noblesse du geste et du sceau qui un jour sera vôtre… »

D’ailleurs, William présenta ce sceau qu’il estampa lui-même sur la cire fraîchement coulée sur l’enveloppe.

- « Soufflez Edward, soufflez! »

La cire durcissait sous le souffle qui s’échappait des lèvres du garçon arborant un large sourire. Une nouvelle complainte de Katherine laissa un regard inquiet chez Edward mais fût rassuré par la forte main de son père qui se posa sur le dessus de sa tête pour en caresser les cheveux.

- « Allez trouver vos frères et tenez-vous prêt pour notre départ à la messe. »

Suivant le départ de son héritier, William se leva à son tour pour rejoindre sa femme qui était à un hurlement près de déclencher un cataclysme. Assise, forcément vu son état, elle semblait déjà épuisée de cette journée qui commençait pourtant à peine. C’est un regard de compassion qui se refléta chez l’époux. Néanmoins, elle était belle, elle était forte et il ne voudrait jamais pour femme autre que-elle.  Malgré l’amour que le couple pouvait se vouer, William savait bien aussi reconnaître lorsque sa femme était contrariée… Valait mieux pour lui parler le premier et amener la discussion sur un terrain qui lui serait favorable.

- « J’ai reçu la visite de votre petit-messager. De jour en jour il vous ressemble un peu plus. Je revois votre beauté chaque fois qu’il sourit! »

Il prit une pause avant de s’avancer plus loin. Il avait besoin de cet instant pour s’assurer que Katherine n’avait rien sous la main à lui balancer par la tête! Il se risque et s’avance vers elle afin de lui prendre un baisé mais surtout de l’aider à se mouvoir… Oui il sait qu’elle est échouée et incapable de se lever. Pour son plaisir, il prendra quelques secondes de plus avant de se rendre à elle… Juste parce que l’idée le comble d’un rire intérieur! Afin, il dépose un baisé à son front, vaut mieux pas trop s’approcher des griffes et se risquer de prendre ce qui serait refusé. Le regard qui porte au-dessus de la tête de Katherine, il remarque ces fichus rideaux d’une affreuseté hors du commun! Avait-elle une simple idée de combien ces horreurs avaient pu coûter?! Bien sûr se dit-il… Elle avait dû magasiner en regardant les prix et non la qualité ou la beauté du tissu! Elle a dû prendre les plus cher et s’est fait croire que c’était là du grand goût!

- « Je regardais ces grandes fenêtres ma chère épouse… Ne croyez-vous pas que nous devrions tasser voir même enlever ces rideaux afin de laisser la lumière entrer dans la pièce? Nos garçons ne doivent pas en être privés pour quelques leçons de bouquineries! »

Vous voyez la tactique? Amener sa femme à retirer ces monstres de foire qui servent de rideau en utilisant un supposé bienfait pour les enfants… Connaissant la dévotion de Katherine pour ses fils, Hastings savait bien que c’était là un de ses seuls espoirs de voir ces rideaux disparaître…
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Katherine Neville

Katherine Neville

◆ DATE D'ARRIVEE : 18/06/2014
◆ MISSIVES ENVOYEES : 84

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MessageSujet: Re: Bla bla bla bla bla amen. [William Hastings/Katherine Neville] Bla bla bla bla bla amen. [William Hastings/Katherine Neville] Icon_minitimeVen 19 Déc - 22:21

( Je sais bien que le forum est temporairement fermé mais j'ai eu un grand élan d'inspiration ! )

Edward, belle petite tête blonde que Katherine aime plus que tout. Elle ne le montre cependant pas assez. Ses files doivent être forts. Pour cela, ils ne doivent pas connaître l'amour maternelle de trop près. Certes, elle leur caresse parfois la tête ou s'égare parfois à quelques élans de tendresse … Mais cela ne va jamais au delà du simple baiser sur la joue.
Katherine préfère leur apprendre la vie. William et Edward, deux et trois an respectivement ne connaîtront jamais cela mais elle en est persuadée, c'est pour leur bien. Ses fils ne seront pas faibles. Ses filles non plus d'ailleurs. Elles devront recevoir une éducation irréprochable qui leur permettra de trouver un bon parti. La dot des Hastings sera conséquente en effet, mais il faudra que le prétendant puisse subvenir aisément aux besoins de ses futures filles.
Katherine a déjà pensé à tout. Elles iront très tôt dans une famille cousine de la famille Neville. Elle vit en France. Cela remonte à loin. Richard son père avait une mère, Lady Beaufort, qui elle même avait un père, John de Gaunt, Duc de son état et qui lui même avec une mère ( logique ) qui avait une mère, Philippa de Hainault qui fût entre autre l'épouse de roi Edward III. Cette Philippa était de la maison Valois. Enfin bref tout ça pour dire qu'elle a de la famille à la cour de France et qu'elle compte bien y envoyer ses filles afin de parfait leur éducation. Elles auront cette merveilleuse façon de prononcer «  Anjou », à la française. Et peut être même que une sera Countesse of Annjou ! On va pas lui dire tout de suite que ça sera pas le cas et que sa seule fille qui va survivre assez longtemps se retrouvera simplement dame de compagnie de la première femme de Henri VIII, Catherine d'Aragon. Katherine ne supporterait pas d'être dame de compagnie. Elle préfère largement sa liberté !
Et Cecily ? Oh c'est trop tard pour elle, pauvre fille, Bonville n'est pas un nom qui peut prétendre à de grandes richesses … Katherine tachera de lui trouver un noble qui saura la respecter et qui aura au moins un manoir et des terres cultivables.
Revenons à nos moutons. Cette pauvre Mary qui maintenant s'efforce de ne plus s'occuper de William et vaque à une autre occupation. C'est-à-dire qu'elle va dans une autre pièce pour évider de s'attirer encore plus les foudres de la Neville.

-WILLIAM HASTGINS POUR LA DERNIERE F...

Elle n'a pas le temps de terminer sa phrase qu'il est déjà là. Heureusement, elle a besoin de se relever, cela devient vital. Elle doit marcher. Dieu que cet accouchement lui fait peur. Elle a un mauvais pressentiment. Elle a toujours eu des mauvais pressentiments et cela s'est toujours avéré vrai. Depuis elle prend n'importe quelle jus que les médecins lui apportent. Tant que cela est bon pour l'enfant. Elle s'en souvient de Edward. Toute une nuit à torturer sa pauvre mère. Les sages femmes se voyaient déjà annoncer la mort de Katherine et de l'enfant à l'époux et au père. Et pourtant, dans un dernier soupir de douleur, elle a pu y parvenir.
Il faut savoir une chose. Katherine n'aime pas être enceinte, elle aime encore moins les accouchements. Elle fait tout cela pour son époux, pour assurer un héritier à la famille. Plus ils en auront, plus la famille Hastings pourra prospérer.

-Oui, en effet, il me ressemble et fort heureusement. J'ose espérer qu'il héritera également de ma force de caractère et non du votre qui consiste à se plier aux désirs et aux aspirations d'une reine sorcière … Aidez-moi à me relever je vous prie, mon dos me fait souffrir il me faut marcher. Dieu que cet enfant se fait attendre !

Evidemment, il ne se presse pas pour venir l'aider, le spectacle est trop plaisant. D'un revers de main elle chasse le visage de son époux qui se rapproche trop du sien à son goût. Elle a dit la relever, pas l'emmerder avec un baiser. Surtout pas maintenant.
Une fois debout, elle se rend compte que son ventre est vraiment lourd. Doucement, elle place sa main sous ce dernier, comme pour le maintenir. Hé, on sait jamais si il tombe hein.

-Les enlever ? Seriez-vous devenu fou mon ami ?! Ces rideaux sont plus chers que ceux de la comtesse de Derby ! Comprenez, elle montrait fièrement ses rideaux la semaine dernière, il me fallait répondre. Je la reçois demain. Inutile de vous préciser que nous prendrons le thé dans cette pièce. Nos enfants pourront se rendre dans une autre salle. Nous n'en manquons point.

C'est alors que l'enfant vient à se mêler de la conversation de ses parents en provoquant d'affreuses douleurs à sa mère. Katherine s'agrippe alors à l'avant bras de son époux.

- Croyez-moi ce sera lui le pire. Je le sens déjà aussi vicieux que moi. Si jeune.

Ils devaient pas aller à la messe ?
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MessageSujet: Re: Bla bla bla bla bla amen. [William Hastings/Katherine Neville] Bla bla bla bla bla amen. [William Hastings/Katherine Neville] Icon_minitime

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